Psicanálise Existencial, Existencialismo e História : a dimensão sócio-material e a autenticidade no processo da construção de si
Abstract
Toute existence implique deux structures déterminantes dans un processus subjectif: la temporalité et l'historicité. Le "temps humain" est connu historiquement et, par conséquent, il est nécessaire d'investir dans les potentialités de la subjectivité sans négliger l'individu sous le «poids» de l'histoire. La psychanalyse existentielle, l'existentialisme sartrien et le concept de l'histoire – couvrant les aventures philosophiques de Sartre dans L'être et le néant (EN), dans les Cahiers pour une morale (CM), dans les Questions de méthode (QM) et dans le L'idiote de la famille (IF) – permettra d'établir les chemins nécessaires pour comprendre une singularité concrète dans la perspective de la relation universelle-singulier: ce est la relation entre l'individu et la société comme l'expérience de la sociabilité. Ce sujet
sera perçu comme un universel singularisé, universel concrétisé (incorporé) dans une singularité concrète, auto-constituée et constitué par la réalité de leur environnement. Comprendre la subjectivité est comprendre le processus de personnalisation, identifiant subjectivité et liberté pour que l'individu ne soit jamais une chose, mais une liberté donnée pour le prisme de l'action. Je ne penserai pas ici le sujet comme « entité subjective » (substance pensante), mais considérerai l'homme sur la perspective d'un processus de subjectivation, d’une liberté existant en acte (libre) visant un but qu’il désire réaliser
(concrètement, dans le monde ). 5 Le " processus de personnalisation" est acte libre – il n'y a pas comme le sujet ne parviennent pas à agir – la personalization est mouvement (tension, action) et engagement avant des situations objectives. C’est dans ce sens que le sujet sera demandé de prendre une position avant des «résistances» que le monde offre à sa liberté. Le monde, étant «celui par
lequel le choix de la liberté devient, pour la liberté, destin », existera comme un en-soi, mais en relation avec le pour-soi, acquérant de sens, signification et valeur. Il sera le sujet dans la présence des faits – par la médiation des représentations de ces faits – sans qu'il devient inessentiel devant eux: l'homme est l'être dont l'apparition fait qu’un monde existe et même l'imitation intérieure de l'extériorité, même l’aliénation , ils suposse la liberté. Le pour-soi, être dans le monde et désir d'être, el cherchera à instaurer en soi-même une « immobilité » ("stabilité", "inertie", "identité", "ἕξισ"), c’est-à-dire une particularité (singularité concrète) impliquant la complexité de l’universel et se devinant, devant elle, inerte: l'individu sera la synthèse vivante de l'universel qui, à son tour, le «déterminera» (projet inauthentique, mauvaise-foi). Dans ce contexte, parler de l'intériorisation et de l'extériorisation, nous allons trouver un problème: l’extériorisation se donnera par une praxis systématisé (institutionnalisé – système normatif –, structurée socialement, politiquement et économiquement). Ainsi, la psychanalyse existentielle (comme un moyen, discipline auxiliaire, instrument), l'existentialisme sartrien et l'Histoire iront construire l'image d'un sujet qui s’efforcera de se saisir à soi-même au-delà de l’ἕξις, ou plutôt à construire l'image d’un sujet (autonome et authentique) qui sera compris dans le mouvement dialectique entre les deux pôles indissociables: la liberté et la détermination. Cette relation dialectique entre le passé et la constitution de l'avenir traduira le caractère dialectique de la situation dans la
relation fondamentale entre êtres humains qui se realisent dialectiquement dans le monde de la matière humanisée. Il sera, enfin, la psychanalyse existentielle qui encouragera le sujet a passer de l’ἕξις à la praxis et de penser sa singularité concrète comme «essentiel» et ne fait pas disparaître ce vécu réel quand il connaître ou percevoir (perpétuellement) son soi: la matérialité du monde et l'Histoire ne pourront pas anéantir les vécus. De cette manière, nous ne désirons pas, au moins, de préparer une société fondée sur la auto-domestication de l'homme, mais sur sa souveraineté.